Je ne reviendrai pas sur les détails de l’affaire. Bernard Madoff, juif américain pratiquant, a monté la
plus grande arnaque de l’Histoire. Adoptant un schéma type « pyramide de Ponzi », l’opération consistait à prétendre qu’il gérait un fonds d’investissement très performant. Il
démarchait, avec son équipe, d’importants clients et entreprises et leur faisant miroiter des gains intéressants.
Bernard Madoff, le visage de l'arnaque
Or, les
malheureux ignoraient complètement que les fonds qu’ils remettaient à la société de Madoff n’étaient jamais investis en bourse. La faible rémunération périodique qu’ils recevaient, les mettant en
confiance et les incitant à réinvestir sans cesse, provenaient des dépôts des autres clients. Une fois le montage découvert, les clients comprennent que leur argent a été accaparé par Madoff et
les siens… La pyramide s’est effondrée et a révélé plus de 60 milliards de dollars de trou.
Suite à cette
affaire, les médias se sont empressés de dire qu’il s’agissait d’un individu isolé. L’on a même prétendu, pour empêcher le public de comprendre le fond de l’affaire, que des juifs auraient été
arnaqués.
Or, ce que le
public ignore, c’est que Madoff n’était pas seul, et que la communauté juive a largement profité de l’affaire. Ce n’est qu’en sachant cela qu’on comprend réellement ce qui a motivé les
protagonistes.
Les vrais bénéficiaires de l’escroquerie Madoff
Irving Picard,
la personne chargée de liquider la société Madoff suite à l’éclatement du scandale, a recensé au moins 2000 personnes et organismes bénéficiaires de l’opération ! En clair il ne s’agissait
pas d’un loup solitaire avide d’argent. Tout porte à croire qu’il a été un agent communautaire.
C’est ainsi que Picard découvrit que parmi les gros bénéficiaires, outre la famille élargie de Madoff, deux familles juives se distinguaient : les Lévy et les Shapiro. Fait
ignoré du grand public, l’un des plus gros bénéficiaires du montage était Jeffry Picower, juif américain et investisseur professionnel (http://en.wikipedia.org/wiki/Jeffry_Picower). Il a
engrangé plus de 7 milliards de dollars !
C’est au sujet des organismes communautaires
juifs que le constat est accablant. On lit ainsi sur Wikipédia que :
« Outre les fondations
de philanthropes juifs pour lesquelles les plaintes furent portées contre leurs
fondateurs tel que Carl et Ruth Shapiro, Jeffry et Barbara Picower, Sonja Kohn, etc. ou la famille Madoff elle-même par le biais des fondations The Mark and Stephanie Madoff
Foundation et the Deborah and Andrew Madoff Foundation qui ont été appelées à rembourser 2 millions de dollars chacune, on trouve :
America Israel Cultural Foundation une fondation de soutien aux artistes et
institutions culturelles juives qui est poursuivie pour un montant de 5,32 millions de dollars.
The
American Committee for Shaare Zedek Medical
Center poursuivie pour 7 millions de dollars.
United
Congregations Mesorah, une association religieuse qui est poursuivie pour 16 millions de dollars.
Hadassah (en), l'organisation des femmes
sionistes ».
Les complices du montage
Du côté des complices, même
constat. Certes, certaines banques classiques sont concernées, comme HSBC, BNP, JP Morgan… Toutefois, là encore, l’implication communautaire est flagrante. Ainsi la fameuse banque
« suisse » UBC à hauteur de plus de 2 milliards de dollars. Cet établissement fut fondée par Edgar de Picciotto
(http://www.ubp.com/cms/lang/fr/ubp/swiss-bank/profile/history), et est dirigée par sa famille. Or, il ne s’agit ni plus ni moins que d’une famille d’immigrants juifs
libanais…
Au rang des complices, bien cachée dans
l’épais dossier Madoff, l’on retrouve une banque israélienne « Hapoalim ».
L’affaire Sonja Kohn, rescapée de l’holocauste, juive intégriste et surtout complice et bénéficiaire principale de l’arnaque
Madoff
Ce n'est pas Madame Doubtfire, mais Sonja
Kohn, complice principale de l'escroquerie
Ce n’est pas fini… Le plus gros
morceau arrive ! Le plus important complice et bénéficiaire de l’escroquerie est la banquière Sonja Kohn. Sa biographie se passe de tout commentaire quant à son implication dans le
judaisme (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sonja_Kohn) :
« Fille de rescapés
polonais de l’Holocauste, elle grandit dans une petite communauté juive de la capitale autrichienne et épouse Erwin Kohn, banquier, dans les années 1970.
Elle débute sa carrière professionnelle avec
son mari à Milan en montant une petite affaire d'import-export de montres,
transférée par la suite à Zurich. En 1984, Elle crée la Medici à Vienne.
Un an après, elle s'installe
à New York, dans une communauté juive orthodoxe. Elle
devient ultra-orthodoxe et porte désormais la perruque comme l'impose la pratique
de sa religion. Elle crée Eurovaleur Inc.
En 1990, elle retourne s'installer à Vienne. Elle est mère de 5 enfants et dispose d’une villa dans
le quartier de Nahlaot à Jérusalem où elle se rend plusieurs fois par an, son fils,
le rabbin Avraham Zeev Kahana, est le directeur
d'une école talmudique, Les portes de la halakha,
financée par Sonja Kohn »
Quel a été son rôle dans l’affaire
Madoff ? Le liquidateur a déposé plainte contre et des sociétés qui lui sont liées, notamment sa propre banque, en estimant : « En Sonja Kohn, Madoff a
trouvé une âme sœur criminelle, dont l'avidité et l'inventivité malhonnête égalaient la sienne ». Dans son recours en justice, il écrit : « Depuis
plus de 20 ans, Kohn a organisé un vaste montage illégal en exploitant sa relation privilégiée avec Madoff pour drainer plus de 9,1 milliards de dollars appartenant à d'autres personnes dans un
montage à la Ponzi ».
Il ajoute
que « le montage illégal a enrichi Kohn, sa famille
et des dizaines d'autres individus et entités, dont les plus grosses banques en Autriche et en Italie, aux dépens des biens du BLMIS et sur le dos des victimes de
Madoff ».
Tous ces éléments suffisent pour
tout comprendre, toute conclusion s’avérerait superflue… Sauf à rappeler que selon le Talmud, livre saint du judaisme, escroquer les goym est non seulement permis, mais même considéré comme un mitsvah,
« bénédiction », lorsqu’il s’agit de favoriser la communauté.